La Belle accepte de vivre dans un château où habite une créature au corps d'homme et au visage de bête afin de sauver son père qui a cueilli une rose sans autorisation.
Dans un hommage à sa mère, l'auteur propose un voyage au pays de son enfance, évoquant le plaisir de l'eau et de la scène, la vulnérabilité des corps et la légèreté de l'être.