Après trois ans passés à survivre dans un monde dévasté et livré à la barbarie, Marie, Hugo, Jules et leur père parviennent enfin à se rejoindre sur le littoral méditerranéen.
À seize ans, Tessa est retrouvée agonisante sur un tas d'ossements humains et au côté d'un cadavre, dans une fosse jonchée de milliers de marguerites jaunes aux yeux noirs.
En 2003, l'écrivaine reçoit une carte postale anonyme sur laquelle sont notés les prénoms des grands-parents de sa mère, de sa tante et de son oncle, morts à Auschwitz en 1942.