L'auteur raconte son travail de deuil après la mort de sa mère. Elle fait revivre ses souvenirs à travers les gestes quotidiens de sa mère, notamment son travail au jardin.
Face à la nécessité d'apprendre à vivre avec la mort, qu'il s'agisse de celle des autres ou de la sienne, l'auteur convoque les réflexions d'un psychiatre, d'un moine bouddhiste, d'un accompagnant en
Une réflexion sur l'absurdité de la vie et sur l'au-delà. Pour le spécialiste des expériences de mort imminente, le véritable non-sens serait de penser que l'esprit ne survit pas au corps.