A partir de sources grecques, arméniennes, arabes et syriaques longtemps ignorées ou peu exploitées, l'historien propose une nouvelle lecture de la première croisade, en plaçant Constantinople au coeu
A partir de sources grecques, arméniennes, arabes et syriaques longtemps ignorées ou peu exploitées, l'historien propose une nouvelle lecture de la première croisade, en plaçant Constantinople au coeu