Vingt-cinq ans après leur rencontre sur les bancs de l'université, six Londoniennes ont gardé l'habitude de se retrouver une fois par an, bien que la vie les ait éloignées.
En 2003, l'écrivaine reçoit une carte postale anonyme sur laquelle sont notés les prénoms des grands-parents de sa mère, de sa tante et de son oncle, morts à Auschwitz en 1942.