Interné à Auschwitz de 1943 à 1945, Primo Levi livre ses souvenirs empreints de dignité qui sont aussi une réflexion morale sur la douleur, sublimée en une vision de la vie.
Dans les Pyrénées, Tine vient de mourir. Zélie pleure celle qu'elle a toujours considéré comme sa grand-mère mais Michel, son père, rentre à Paris sitôt enterrée celle qui l'a élevé.