L. et Light se livrent un duel silencieux par l'intermédiaire des caméras cachées dans la maison de Light. Celui-ci parvient à démontrer son innocence par l'intermédiaire d'un stratagème, mais L.
Light Yagami, fils d'un policier, trouve dans la cour de son collège un curieux carnet : il s'agit du livre de Ryûk, un dieu de la mort. Il va vite découvrir son terrible pouvoir.
A travers la planète, les femmes sont frappées d'un état léthargique et sont enveloppées dans un cocon dont elles ne peuvent être extraites sous peine de se transformer en des créatures violentes.
A travers le témoignage de Agnès Lieby, atteinte du syndrome de Bickerstaff, ce document pose la question du don d'organes et de la douleur dans le coma.
Restée mutique à la suite d'un traumatisme dont elle n'a aucun souvenir, Rosanie vit à l'abri du monde depuis vingt ans, protégée par son sauveur devenu son mari.