Née en 1881, la plus riche héritière d'Italie est morte en 1957 en clochard londonnienne. Luisa Amman, dite La Casati, n'était pas belle mais voulait faire de sa vie une oeuvre d'art.
Dans les rues du Caire résonne une étrange musique : l'écho des appels à la prière, les insultes furieuses lancées entre les conducteurs, les cris des vendeurs ambulants.
Dix ans plus tard, ce roman renoue avec le personnage de Madame Bâ, l'institutrice malienne, pour tenter de décrire de l'intérieur le Mali d'aujourd'hui.