Le narrateur, Teodoro Martini, retrace son histoire familiale depuis la fin du XIXe siècle jusqu'au milieu des années 1950 : fascisme, nazisme, histoire de la classe ouvrière.
Le 8 janvier 1915, c'est la guerre dans toute son épouvante. Dans son lit de douleur, le lieutenant Vialatte poursuit son récit à l'attention du prêtre qui le veille.