C’est un oiseau
qui se pose là où le vent le mène.
Échappé d’une main,
souvent abandonné…
Un texte tout en subtilité, poétique à souhait et engagé, pour dénoncer au fil des pages l’ampleur du désastr
La neige et le givre recouvrent encore le sol mais il y a comme un changement dans l’air. Au fil des pages, la rumeur prend de l’ampleur. Ne serait-ce pas le printemps qui s’annonce ?