Face à la nécessité d'apprendre à vivre avec la mort, qu'il s'agisse de celle des autres ou de la sienne, l'auteur convoque les réflexions d'un psychiatre, d'un moine bouddhiste, d'un accompagnant en
Un jour, I. de Courtivron, 73 ans, réalise qu'elle a perdu en souplesse et qu'elle s'essouffle plus vite. Elle doit se faire opérer de la cataracte et se sent dépassée par les nouvelles technologies.
Le narrateur a vu sa mère sombrer peu à peu dans la folie après la perte de son premier fiancé, le sergent Robert Sipière, tué durant la guerre d'Algérie.